keep.your.smile

Ah Rie Beau

Samedi 1er mars 2008 à 1:01

C'est quoi ce bordel avec l'amour ?

Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point ?

T'imagines le temps que tu passes à te prendre la tête dessus ?

Quand t'es seule, tu te plains, est-ce que je vais trouver quelqu'un ?

Quand t'as trouvé quelqu'un, est-ce que c'est le bon ?

Est-ce que je l'aime vraiment et est-ce qu'il m'aime autant que moi je l'aime ?

Est-ce qu'on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ?

Pourquoi on se sépare ?

Est-ce qu'on peut réparer les choses quand on sent que ça part en couille ?

Toutes ces questions à la con qu'on se pose tout le temps...

Putain, on n'peut pas dire qu'on n'y connaît rien, on y est préparés quand même. On lit des histoires d'amour, on lit des contes d'amour, on lit des romans d'amour, on voit des films d'amour. L'amour, l'amour, toujours l'amour !!




"Tu te contente de ca ou tu veux le serrer fort dans tes bras ?"
"Pourquoi tu fais tout ca ? Ça t'avance a quoi ? C'est quoi ton but ? Tu recherches quoi ?"
"Arrêtes de te prendre la tête, avances, fonces, t'es une battante"

.STOP IT PLEASE. I HAVEN'T THE CONTROL OF MY SELF.

Mercredi 27 février 2008 à 1:19

C'est dingue ce qui peut se passer en une semaine. Une histoire qui bascule. Des sensations renouvelées. Des sentiments retranscrits. Mais toujours et inlassablement cette vie qui coule, s'écoule et s'éteint.

En une semaine, il peut y avoir des tas de rencontres, plus ou moins sympathiques, plus ou moins longues, plus ou moins encombrantes, et qui modifieront plus ou moins notre vie. Un simple regard échangé chaque matin auprès du télésiège. Des formules de politesses lorsque je vois mes snowborders préférés manger près de cette fameuse piste, toujours la même, toujours au même endroit, toujours eux cinq. Des histoires de maitresses d'école qui larguent leurs petits chous en pleine nature. Des teubés sur les télésièges qui ne savent pas tenir leurs skis, leurs bonnets, et, qui plus est, oublient complètement de lever la barrière. La magie d'une piste rouge qui se transforme en piste noire, juste pour l'occasion. Des pistes fermées où on prend le risque d'y aller, ah ... merde, c'est un peu garni de cailloux. Des gens un peu énervés qui me dégomment a coup de bâton ... sale conne, sale snowborder, et sale papi sans canne. Un Jean-Pierre qui ne sait pas skier, mais qui ose frimer, ahem, on l'a bien eut quand même.

Des films suspects, des photos hilarantes, une fondue au chocolat, et c'était suffisant.

Et puis, ca ne laisse pas objectivement que des bons souvenirs. Ca peut parfois tout briser, tout casser, tout détruire, tout exterminer. Est-ce que je dois mettre "The End" a la fin ? Ou est-ce qu'ils le feront tout seul ?
C'est dingue c'que ca fais mal quand même. De se dire ca, de devoir se rendre a l'évidence, de devoir supporter ca, de devoir se taire, de devoir autant prendre sur soi, et surtout, de ne pouvoir en parler a personne. Faut aller de l'avant ? Hum, ouai ... on essaye tous de faire ca, faut croire que vu les résultats, c'est beaucoup plus facile a dire qu'à faire.




Les jours passent.

Et c'est une petite boule d'énergie qui revient a la charge. Deux jours avec toi, c'est refaire le monde a notre façon, c'est ne faire que rire, parler, et chanter comme deux tarés. On rigole en pleine nuit, on réveille toute ta maison, on s'extasie devant les gars qui chantent comme des merdes, on veut nous aussi ... un jour ... devenir un "W", un jour ! Mais surtout, c'qui reste le plus important, c'est la leçon qu'on a tiré de tout ca : ne jamais se couper les ongles sans quoi on peut perdre nos empreintes digitales...


Finalement, j'me demande comment tout ça va se terminer ?

Je sais bien que la vie est faite de hauts et de bas, que sans les bas, les hauts n'auront plus aucunes importances. Je sais bien que bientôt tout ca sera terminé. Je sais que dans quelques mois je pourrais quitter tout ca et recommencer de zéro.

Je sais, je sais ... je sais.

Mais jsais plus quoi faire.


Vendredi 15 février 2008 à 18:14



Elle.

Elle.
Elle.
Toujours elle,
toujours avec elle,
parce que sans elle,
c'n'est pas possible.
Pas imaginable.
Pas vivable.



Dimanche 3 février 2008 à 20:51

Article qui n'a pas vraiment de sens. Et alors ? Comme dit Lewis Carroll, "si ce monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un?"

* Quand on dit aux autres "t'en fais pas, ca passera, tu vas t'en sortir, tu vas oublier tout ca, tu vas retrouver le sourire", est-ce qu'au fond on y croit réellement ? Est-ce qu'on a cette conviction qui fait qu'on le pense vraiment, ou alors, est-ce juste pour rassurer les gens ? Est-ce juste pour leur redonner confiance ? Peut-être que ce n'est qu'un moyen de dire aux autres qu'on les soutient, qu'on est là pour eux ? On peut éventuellement se poser la question, mais au final il n'y a pas de réponses. On reste là, avide. Avec pour seule compagnie une question dénuée de sens ne contenant aucunes solutions. *


- Droguée de toi, de nos discussions, de nos délires, de nos rêves, de nos envies autant que du chocolat. Non c'est pas contagieux mais on s'est contaminées l'une et l'autre. On svoit pas assez. On habite a deux rues l'une de l'autre et on est pas capables de se voir deux fois dans le mois. Pourtant j'ai besoin de toi. Besoin de passer des aprèms avk toi, des soirées avk toi, de partager des moments avk toi. Les sms, msn, ca va bien deux secondes mais c'est pas suffisant. Tout ca pour te dire que tu me manque toi et tes bottines alors que t'es déjà grande. -


¤ Décider du destin. C'est ce qu'on nous demande toujours. On a toujours affaire a des choix. On doit choisir, imaginer l'avenir, se projeter dans le futur ... et choisir. Pourtant, faire le bon choix c'est pas évident. Il faut se poser les bonnes questions, il faut envisager toutes les possibilités, il faut penser a tout, au moindre détails.  On a beau demander l'aide de sa famille, de ses amis, de son entourage en général ; les choix, c'est nous seul qui les faisons. Il ne faut pas essayer de justifier son choix, il faut juste assumer. Assumer le choix que l'on a décidé de poursuivre, et essayer de s'y tenir. J'ai bien dit essayer. J'ai dut faire un choix, il y a un mois environ, j'ai fais le mauvais, jme suis trompée, et même si c'est dur, même si jmen veux, j'assume. J'espère que la prochaine fois jme tromperai pas. ¤



< Lui, c'est un rayon de soleil. C'est un concentré de bonheur, de blagues, et d'échanges. Avec lui, le pire se transforme en rire. Lui, c'est la personne que j'ai envie de voir quand ca va pas, parce que lui, il n'a pas besoin de savoir ce qui ne va pas chez moi pour me le faire oublier. Avec lui, c'est un monde de Bisounours version délire. Avec lui, c'est du partage perpétuel, c'est des bisous magiques, c'est des sms a quatre heures du matin, c'est des soirées inoubliables. Et pourtant ... jme sens si impuissante face a lui. J'ai l'impression de lui être inutile lorsqu'il a besoin de quelqu'un. Quand il va mal, c'est la sensation perpétuelle de ne pas savoir quoi faire ; c'est pourtant pas l'envie qui manque. Envie de l'aider, envie de l'aider comme il m'aide, envie de pouvoir lui être utile. Dans ce cas là, il ne faut pas passer par quatre chemins, lui dire directement, c'est le mieux. Et ca marche. Passer la soirée a l'écouter se confier, le rassurer, l'entendre dire qu'il se sent vulnérable, savoir qu'il se sent pas a sa place. Et lui répondre, inlassablement la même chose. Lui, il ressemble a un rayon de soleil, lui, il a parfois des airs de nuage noir, mais il reste lui. 3


+ C'marrant ca. Les moments ou on se parle le plus, c'est quand l'un de nous deux ne va pas bien. En l'occurrence c'était les deux. Mais c'est dingue comme ca fait du bien de parler avec toi, parler de tout, de rien, se remettre en question, essayer de répondre a nos éternelles questions qui demeurent sans réponse. Et, il faut bien le dire, y'a toujours un moment ou l'on parle de nous, au passé, au futur, jamais au présent, bizarre, oui, mais c'est pas tellement grave. Nous parler quelques fois nous suffit, nous appeler une fois par mois nous comble, s'envoyer des sms nous fait sourire, et se voir nous rend dingues. Oui, dingues. +


Dans nos conversations, ca passe du tout au tout, un constant ascenseur émotif. On parle, on s'engueule, on se râle dessus, et puis on rigole ... le tout en un laps de temps très court. Et ce tout le temps, tous les jours. Ça peut parfois être amusant, mais parfois devenir très très chiant. Tant pis, c'est comme ca qu'on fonction depuis trois ans. On se supporte, et on s'adore. On délire, on rigole et on parle. Parce que quand il est pas là, ca créer un vide, un manque. C'est ca l'amitié après tout ...


Crises de rire, délires, confidences, blablattages, prises de tête, calinous, photos, vidéos, larmes qui coulent, appels téléphoniques, short message service, mails, dictature, alliances, surnoms. Deux années a tes côtés, c'est un bonheur perpétuel qui ne peut que s'amplifier.


Article a continuer ... inlassablement il sera compléter au fur et a mesure. Vous vous sentez visé par l'un de ces paragraphes ? Tant mieux pour vous. Et sinon ? Eh bien, sois parce que vous êtes sur un autre article de ce blog (quoi que des fois vous pouvez être aux deux endroits), ou soit parce que vous y apparaitrez un autre jour.

Ne vous sentez pas exclut.     






Dimanche 27 janvier 2008 à 22:17

On me dit que l'destin se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Paraît que le bonheur est à portée de main
Alors on tend la main et on se retrouve fou



Il parait que l'amour donne des ailes. Moi l'amour me les a coupées. Il parait que pour être heureux il faut afficher un sourire. Moi je pleure parfois de joie. Il parait que toutes les filles rêvent du prince charmant. Moi j'en cauchemarde. Il parait que quand on aime on ne compte pas. Moi pourtant je compte les jours ou je n'ai pas de nouvelles de toi. Il parait que, il parait qu'il, il parait qu'on. Moi j'apparais pas, je dis-parais.

Pourtant c'était génial. Des paroles échangées, des phrases nonchalamment échangées dans un train qui roule tellement vite que regarder le paysage en devient impossible. Paysage que je devrais connaitre par cœur tellement je l'ai vu. Mais paysage qui me parait a chaque fois différent. Ce sont toujours ces mêmes arbres, ces mêmes rails, ces mêmes tunnels, cette même Loire. Mais ce n'est jamais avec les mêmes pensées que j'y passe, jamais les mêmes sentiments.
Parfois mélancolique et nostalgique, parfois avec le sourire et le bonheur, parfois triste, parfois stressée, parfois sans grande conviction, ou parfois même dans un fou rire. Je ne parle pas de ces fois ou je me surprend a parler avec les parfaits inconnus qui m'entourent. Je ne parle pas de ces fois ou j'étais collée a la fenêtre de son tgv, a lui dire au revoir. Je ne parle pas de ces fois  ou j'avais juste envie de rigoler, juste envie de tuer ces filles en furie, juste parfois des envies, juste comme ça.

Après un petit dépôt dans un endroit insalubre. Nous voila reparties. Et là, comble du comble, monsieur parfait apparait devant moi, pour la deuxième fois, toujours dans cette même rue. Ensuite, quelques bouffées de stress, un coup de téléphone, et deux sourires sur nos visages. Un sourire qui ne m'a pas quitté de la journée. Après des bavardages, après des robes horribles, après des bouteilles de bière et un pot de Nutella, c'est un sourire d'au revoir qui nous a envahit. C'est une séance de cinéma qui s'en suivit, très émouvante, très bizarre, très bouleversante. Et puis des glaces mangées, des confidences faites, et un réel manque de toi a présent comblé. Pour finir, un appel, un appel sans réelle raison précise a deux heures du matin environ, un appel qui a suivit dans la continuité de ma journée : me faire sourire.

Oui, cette journée était bel et bien géniale. Et je peux le dire, cette journée m'a rendue heureuse.

J'avais presque oublié c'que ca faisait, le bonheur.

Sauf qu'aujourd'hui c'était pas pareil, le quotidien revient. Je redescend de mon nuage. Comme si je m'étais échappée de ma vie pour une journée, et que ce dimanche m'a fait revenir a la réalité. Si tous les jours pouvaient être comme ce samedi ... si seulement je pouvais atteindre le bonheur durable. Si seulement, si seulement ... si seulement j'avais fait le bon choix.
L'envie de sourire m'est passée. Mais c'est pas si grave, un sourire n'est que le masque de l'âme tout comme les yeux en sont le miroir, ...de l'âme. Un sourire nous reflète au quotidien, dans un sourire inquiet, franc, en coin, ironique, amical, timide, sadique, poli, éclatant, forcé, rassurant.

Un sourire n'est fais que de dix sept muscles après tout ...

J'en croyais pas mes yeux
Mes yeux
Et lui qui me disait j'suis un dur
Tu vois les brûlures la sur mes bras
J'les sens pas
J'les sens pas
J'étais la j'ai rien dis
Et puis j'suis parti de chez lui
Si j'y suis retournée
Plus jamais
Plus jamais
J'étais la et je n'ai rien fait

Et je n'ai rien fait
J'étais-la pourtant
J'étais la et je n'ai rien fait

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