Tout nous retient ici, mais la vie, elle, est ailleurs.
keep.your.smile
Ah Rie Beau
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Ah Rie Beau
Vendredi 14 août 2009 à 22:00
On essaye de croire que la réalité est mieux que le rêve. On se persuade qu’il ne vaut mieux pas rêver du tout.
Mais les plus solides d’entre nous, les plus déterminés s’accrochent à leurs rêves.
Il arrive aussi qu’on soit en face d’un rêve tout neuf qu’on n’avait pas envisagé. Un jour on se réveille et contre toute attente, l’espoir renait.
Et avec un peu de chance, on se rend compte en affrontant les évènements, en affrontant la vie, que le véritable rêve c’est d’être encore capable de rêver.
J'ignore si j'y arriverais. Jsais même plus si j'ai envie d'y arriver.
J'ai peur.
Cette journée était parfaite, on aurait dû me dire que ce soir elle s'arrête. Elle ne tient peut être qu'à ces quelques amphét' mais (oula) j'en ai abusé, en fait...
Jeudi 16 juillet 2009 à 18:19
Parce qu'aucun son, aucune voix, aucun cri, aucun appel au secours au monde ...
ne peut être entendu avant que quelqu'un ne l'écoute.
Il existe deux manières d'avoir envie de rien. Soit on a eu tout ce qu'on désirait, soit on est découragé par ce qu'on ne peut avoir.
Samedi 4 juillet 2009 à 21:57
Je pourrais chanter du Lara Fabian "Tout, tout, tout est fini entre nous".
Du Jean Louis Aubert "Voilà, c'est fini. On va pas s'dire aurevoir comme sur le quai d'une gare".
Mais parce que parfois un silence vaut mieux que mille mots...
La boucle est bouclée.
Dimanche 21 juin 2009 à 22:00
Vous pouvez gâcher votre vie en traçant des lignes, ou vous pouvez vivre votre vie en les franchissant... mais y'a certaines lignes qui sont beaucoup trop dangereuses a franchir. Mais si vous êtes prêts a courir le risque, la vue de l'autre côté est spectaculaire.
Je ne remercierai jamais assez ces personnes qui sont là pour moi. Celles sans qui moi je ne serais pas là aujourd'hui. Celles qui font battre mon coeur, celles qui ralentissent le débit de mes larmes, celles qui me font sourire. Je ne pourrais jamais décrire à quel point je les aime, parce que les mots adaptés n'existent pas. Je ne pourrais jamais continuer sans elles.